Quelle filiation de l’eau en danse contemporaine ? Est-ce Pina Bausch qui lança le mouvement des danseurs mouillés ? Toujours est-il que la glissade sur liquide, généralement de l’eau, est devenu un motif récurrent de la danse contemporaine : je pense à Michèle-Anne de Mey, Sinfonia eroica (1990) ; Guilherme Botelho, Le Poids des éponges (2003) ; Jan Fabre, Quando l’uomo principale e una donna (2004) ; United-C, Who Cycle (2009), et sans doute bien d’autres que j’oublie ou ignore. En attendant que vous allongiez la liste, voici une variante récente, particulièrement spectaculaire, de la glissade sur eau.
Que d’eau !
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